N'hésitez pas, allez mettre un petit mot sur le livre d'or.

Spéléologie

Pour celui qui n'a jamais exploré le monde souterrain, il est difficile de pouvoir comprendre l'ensemble des impressions ressenties par le sportif qui pénètre cet univers humide, froid, boueux, silencieux etc...
Les vides, les méandres, vires, escalades, étroitures, chatières, rivières, cascades, siphons sont autant d'obstacles à surmonter et à franchir. Les connaissances, du milieu, de la mise en place des cordes, de l'utilisation du matériel, descendeur, croll, poignée, tamponnoir etc... sont indispensables à une progression sécurisée.
Tous semble irréel, le temps lui-même semble s'être arrêté.
Pourtant, pour celui qui surmonte toutes les difficultés, le spectacle de la pure beauté minérale est unique.
Pour braver ces abimes, une équipe avertie, soudée et unie est indispensable, là est un autre aspect de ce sport où l'esprit de camaraderie prime avant tout.
Outre les impressions ressenties par le spéléologue lors de ses explorations, l'aventure scientifique fait également partie de cette passion dévorante. La karstologie, l'hydrogéologie, l'archéologie, la biospéléologie, la paléontologie, la chimie, la diététique, la photograhie etc... sont autant de sujets qui intéressent "l'homo spéléologue".
La divertité de ce milieu, l'amitié que l'on y trouve, la première que l'on découvre, la science que l'on y étudie, la beauté unique de ce monde minéral, le coté sportif sont autant de liens qui unissent ces copains dans une même passion: La Spéléologie.
 Dans la vie, il y a des moments où une personne te manque beaucoup, et tu voudrais la faire sortir de tes rêves pour la serrer très très fort dans tes bras.
 Jean-claude et Jean philippe, sans eux deux, je ne serai pas devenu spéléologue.
 Votre photographe, un peu plus jeune.
 Les débuts...
 Initiation, gouffre de l'avenir.
 La vire d'entrée à Vauvougier.
 Dans la Pierre saint martin.
 Rivière de la borne aux cassots.
 Avant le numérique, pas le droit à l'erreur !
 Pure beauté minérale.
 Gours.
 Perles... des cavernes.
 Aragonite.
 Exentriques.
 Expédition Chiapas 87.
 Belle résurgence au Chiapas, Mexique.
 Récupération de petites bêtes pour le laboratoire de Moulis. Mexique, Chiapas 87.
 Jean-philippe essaye de copier sur Pierrot !
 La grotte Vallier, avec les furets jaunes de Seyssins, 8 km de premières, moins 400, et son puit, le blackhole, plus qu'impressionnant !
 Christian en repérage dans les falaises de Chartreuse.
 Il n'y a que les moments partagés qui méritent d'être vécus. Bivouac inoubliable à l'hôtel des abîmes.
 Au Brésil, un peu spéléonaute sur les bords, avec deux spécialistes Gus et Matthias.
 Le beau massif du Tennengerbirge (Autriche).
 L'entrée du Cosa Nostra Loch, massif du Tennengebirge, traversée de -1200m. Première des Furets Jaunes de Seyssins.
 L'entrée du Cosa, la forme de cette entrée en conduite forcée atteste de l'ancienne puissance des eaux de fontes glaciaires.
 Les très belles grosses huitres fossiles du Cosa Nostra loch preuves des très anciens dépots sédimentaires marins.
 On peut prendre sa douche au Cosa nostra loch traversée de moins 1200 m en première. Autriche, Tennengebirge, avec les furets jaunes de Seyssins.
 Fait pas chaud au bivouac du Cosa nostra loch, Autriche.
 Petite sieste réparatrice à -700m au bivouac du Cosa. Avant de remonter vers la surface après des TPST (Temps Passé Sous Terre)de plus de 35 heures.
 Petit encas.
 Christian plante un spit à la côte -1000m en première.
 Zézeil, les mains marquées par l'explo ! Au camp de tentes avancé à 10 minutes du Cosa.
 Un bon coup de fourchette pour un grand Ben qui nous manque.
 C'est quoi un méandre ?
 Le chaînon manquant, un trou prometteur un peu décevant.
 Chaque jour un peu plus profond.
 Moins 500 m en première au lièvre blanc avec un vilain et un Tartin toujours aussi motivés.
 Une belle équipe de ‟winners‟, moins 500 au lièvre blanc.